Institution du surf depuis 1975, le Santocha Capbreton a toujours été tourné vers l'océan et la glisse avec l'unique but de transmettre un héritage à nos enfants au travers de valeurs fédératrices, culturelles et sportives.
La dynamique de notre club se retrouve autour de valeurs essentielles de partage et de cohésion. De 3 à 90 ans, nos membres et notre culture représentent l'ADN du surf Landais riche d'un héritage de plus de 40 années de glisse.
Véritable pionnier du surf et profondément passionné par l'océan, Pierre était pour nous tous un exemple. Surfeur, entrepreneur et personnage emblématique de la culture surf et de Capbreton.
De capitaine de l'équipe de France de surf à PDG de Quiksilver monde, il aura oeuvré toute sa vie a façonner la culture surf et landaise pour nous transmettre un héritage dont nous devons être fiers et redevables.
Le Santocha Capbreton Surf Club n’est pas né d’hier, ni de la dernière pluie. Plonger dans son histoire, c’est littéralement plonger dans l’histoire du surf en France, et remonter aux premières heures du surf Landais.
A cette époque, les premiers surfeurs, n’avaient ni leash, ni dérives, ni véritables planches en résines. Les jeunes commençaient sur des Morey Boogie, ou de rares planches de surf d’occasions.
Au commencement, Dieu créa la mer et ses vagues, puis Capbreton, et ensuite la planche à surf qui pour être utile avait besoin de son pilote : le surfeur Capbretonnais.
Pas de téléphones mobiles, ni d’internet à cette époque, les jeunes du village ne tarderont à se rassembler sur la plage de la Savane pour partager leur passion, échanger, progresser et se protéger de l’océan. Ils s’appellent avant de partir surfer, passe les uns chez les autres pour partager leurs sessions, toujours plus rassurant que d’aller surfer tout seul. La plage de la Savane devient vite LE LIEU de rendez-vous de tous.
C’est ainsi qu’en 1975, ce bon vieux Pierre Marraud Des Grottes, fraîchement sorti de l’armée, François Xavier Pacou, Françis Treilh, Desbies et Dassé décident de créer le Santocha Surf Club, du nom d’un des premiers films de surf qu’ils avaient pu voir : « Forgotten Island of Santosha ».